Protection des personnes

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De quoi parle-t-on ?

On parle de violence sexuelle pour un large éventail de gestes ou actes qui ne sont pas pleinement consentis par une des parties. On parle d’abus spirituel quand il y a une emprise qui nie la liberté de croire et d’agir en autonomie. Ils profitent d’une relation de confiance pour satisfaire leur propre désir. L’abus émotionnel est un comportement psychologiquement destructeur de la part d’une personne en position de pouvoir, d’autorité ou de confiance, qui comprend une attaque continue sur l’estime de soi d’une personne, pouvant se manifester par de la négligence, des critiques constantes, des comparaisons, mais aussi par la privation d’affection. Les agresseurs ne respectent pas l’intégrité psychologique, émotionnelle, spirituelle et physique de l’autre.

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Questions sanitaires

Avoir une couverture médicale ou une assurance appropriée. Pour les personnes vivant dans l’Union européenne apporter votre carte européenne d’assurance maladie (CEAM) (pour les citoyens ou résidents du Royaume-Uni, voir ce site). Les jeunes de moins de 18 ans doivent apporter et avoir avec eux toujours leurs autorisations parentales qui désigne une personne de plus de 18 ans responsable de l’autorité parentale à Taizé, qui permet de savoir les problèmes médicaux connus et donne l’autorisation d’intervenir médicalement en cas d’urgence.

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Questions de sécurité

Dans le cadre des mesures de sécurité prises par les autorités lors de grands rassemblements, des militaires ou des policiers peuvent être présents à Taizé. Un frère de Taizé est régulièrement en lien avec les autorités locales pour les questions de sécurité. Tout bagage doit être étiqueté et ne jamais être laissé sans surveillance. Les participants aux rencontres ne doivent pas apporter de bagages ou d’autres sacs dans l’église. Une équipe de jeunes se tient aux différentes entrées pour s’assurer du respect de cette consigne.

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Rapport d’étape 2019–2022

En juin 2019, frère Alois, le prieur de Taizé, a publié une lettre ouverte intitulée « Un travail de vérité » dans laquelle il expliquait les accusations parvenues à la communauté concernant des actes d’agressions sexuelles dont trois frères étaient accusés. Il disait entre autres : « Il est possible que cette prise de parole incite d’autres victimes éventuelles à se faire connaître : nous serons alors à leur écoute et les accompagnerons dans les démarches qu’elles voudraient entreprendre. Nous sommes convaincus que ce n’est qu’en faisant la lumière sur ces actes que nous contribuerons, aidés par des personnes extérieures à la communauté, à protéger de manière efficace tous ceux qui nous font confiance en venant à Taizé. »

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Rapport d’activité 2023

En novembre 2022, le rapport d’étape sur les trois années précédentes avait été établi par la communauté. Cette fois, le rapport d’activité est donc le premier rédigé par l’équipe désormais constituée de trois personnes extérieures à la communauté.

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